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[Fic] Avis
Tutiou
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[Fic] Avis posté le [14/01/2017] à 18:27

Bonsoir 🙂


Voici un extrait d'histoire sans nom mais, qui j'espère, vous plaira. Il est loin d'être parfait et il manque clairement le début que j'ai du mal à écrire. Je demande simplement votre avis dessus.

Est-ce compréhensible ? C'est la chose la plus importante pour moi.


Ah oui, aucun rapport avec Yu-Gi-Oh! Bonne lecture 🙂


PS : désolé pour le format d'écriture qui n'est pas du tout adapté au fofo d'OTK.


________________________


– Attention !


A peine entendé-je cette voix que je me sens brutalement bousculé. Tout va très vite. Un fracassement retentit et je tombe au sol, étourdi. Je suffoque : de la poussière émerge d'un mur détruit juste à côté de moi. Une autre explosion résonne dans la salle et je devine que des carreaux ont été brisés en entendant le bruit de l'impact du verre sur le sol.


– Bordel, mais qu'est-ce qui se passe ?


Je ne dois pas rester là. J'essaie de reprendre mes esprits mais reste toujours sonné. Je n'aime pas cette sensation d'impuissance. Tout en rampant pour fuir un éventuel nouveau danger, une voix retentit, ou plutôt un cri, comme si quelqu'un faisait un effort soudain mais puissant. Puis le son d'une autre explosion suivie d'un écroulement de pierres – du moins j'imagine – parviennent jusqu'à mes oreilles. J'arrive suffisamment loin du lieu de ma chute et y vois plus clair. Je me lève tant bien que mal, essaie de tenir en équilibre, bouleversé par les événements, et réajuste mes lunettes.


Ce qui se passe devant moi est un violent spectacle. L'air est légèrement opaque dû à la poussière des différents impacts. La lumière pénètre à peine dans la pièce et donne une couleur sable aux particules en suspension. Des fragments de verre jonchent le sol et j'entends justement le son de ces derniers lorsqu'on marche dessus. Je porte mon attention sur la cause de ce bruit.


Une fille d'à peu près ma taille et de mon âge se tient assez loin devant moi, de dos, en position de combat. Ses cheveux blonds descendent jusque ses épaules et je n'ai pas le temps d'en voir d'avantage car elle se précipite à l'avant, disparaît et… réapparaît quelques mètres plus loin, à côté d'un homme jusqu'alors hors de mon champ de vision. Elle s'est téléportée ? Je ne dois pas encore avoir entièrement repris mes esprits. Alors que la fille assène un coup de pied circulaire à son adversaire, celui-ci disparaît. La combattante regarde alors dans les airs, saute dans la direction fixée puis se téléporte juste avant qu'un choc fracasse le sol et éparpille à haute vitesse le béton dont il était formé.


Le violence du coup a fait trembler le sol, du moins j'en ai eu l'impression. Je recherche les deux assaillants du regard et les aperçois, surélevés, se tenant sur une étagère de stockage vide. Je ne saurais leur attribuer leur identité à cause de la distance et de l'air sablé. Devant cet affrontement, quelque chose me semble étrange. D'habitude, dans les films, les combats sont plutôt animés dans le sens "ça fait boum partout". Non pas qu'il ne l'est pas ici – il y a quand même pas mal de dégâts – mais il est plus silencieux, outre le son des impacts de je-ne-sais-quoi sur le décor. Je ne cerne pas trop la situation. La peur ne m'envahit pas mais je reste figé sur place, ne sachant pas quoi faire. Des gens se téléportent, les murs éclatent : tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.


– Hé ! Vous deux ! Qu'est-ce… hurlé-je.


A peine ai-je prononcé ces paroles qu'un vacarme retentit dans toute la salle. Les explosions s'enchaînent, les portions de murs éclatent les uns après les autres. Je perds de vus les adversaires entre les débris qui jaillissent de partout et leurs téléportations. Parmi ces détonations je parviens à identifier les cris des deux combattants et me fais ainsi une vague idée de leur position. La scène n'a rien à voir avec avant, tout va plus vite, j'ai du mal à suivre le rythme. Je n'ai pas intérêt à rester par ici. Je cherche alors une sortie, un endroit où me cacher. A peine j'entame un pas de course que l'homme apparaît devant moi, de profil, stoppant mon élan. Ses cheveux sont poussiéreux, son visage marqué de balafres et ses vêtements en lambeaux. Il remarque ma présence et la fille se matérialise juste derrière lui, le fixant d'un air sérieux et concentré, les sourcils froncés.


Il n'a pas le temps de se retourner : elle l'achève en un mouvement. Levant la main droite en direction de son ennemi, une sorte d'onde de choc en émerge. L'ennemi est alors expulsé dans un retentissement qui fait écho jusqu'à ce qu'on entende l'impact du projectile à l'autre bout de la pièce. Un peu de sang éjecte du contact de l'onde de choc avec l'homme. Le visage de la fille, devant moi, en est légèrement recouvert. Elle aussi n'est pas arrangée : quelques balafres par-ci, des déchirures par-là. Elle est légèrement plus petite que moi, peut-être un mètre soixante-cinq, fine mais pas maigre. Je me rends compte qu'elle halète, sûrement exténuée de son affrontement, puis se tourne vers moi. Ses yeux sont clairs comme le ciel un jour d'été. Elle s'essuie le visage d'un coup de bras et se redresse, se tenant devant moi. J'espère juste qu'elle ne m'est pas hostile, sinon je suis mal.


– Heu…


– Viens avec moi. Ne t'inquiète pas, je suis une amie. Il ne faut pas que quelqu'un nous surprenne.


Elle me prend par le bras et m'entraîne en dehors de l'entrepôt. Je ne lui oppose aucune résistance sans doute parce que je suis encore sous le choc. Le rythme du combat semble encore dans sa peau. En effet, elle est à la limite de la course en me tirant vers le parking d'ailleurs vide – et heureusement pour nous. Il est illuminé par le soleil et un agréable air frais flotte dans les airs, contrastant avec l'entrepôt fermé et poussiéreux. Nous nous dirigeons vers une petite Citroën DS3 noire à plafond blanc – je ne savais pas que ce modèle existait encore. Une fois installés, elle au volant, moi en tant que passager, elle s'empresse de mettre le contact et donne un bon coup d'accélérateur.


– On doit rapidement se tirer d'ici. Je t'expliquerai les détails en route.


Je hoche la tête. Je suis carrément spectateur de ma propre vie, me laissant entraîner dans je-ne-sais quoi. Au vu des circonstances, c'est ce qu'il me semble de mieux à faire. Ce n'est pas tous les jours qu'on voit des gens se… téléporter, lancer de ondes de choc et faire sauter un entrepôt. C'est vraiment une sensation étrange. Je jette un coup d'œil en arrière pour vérifier si personne ne nous a aperçu. Nous sortons du parking et la fille compose un numéro sur son téléphone.


– Tu veux que je téléphone pour toi ? Lui proposé-je.


Avec ce qu'il vient de se passer, je n'ai aucune envie de risquer à nouveau ma vie dans un accident de voiture.


– Ne t'en fais pas, j'ai un kit "mains libres".


En effet, le gadget sur le pare soleil laisse entendre la sonnerie du téléphone. Il n'a pas fallut attendre longtemps pour que quelqu'un décroche.


– Allô ?


– Louis, c'est moi. On s'est fait attaquer.


– "On" ?


– Je suis avec…


– Paul, répondé-je.


– Bref, à l'instant, à l'école d'ingénieurs, il y avait quelqu'un qui connaissait la maîtrise de la physique théorique. Il a attaqué Paul et, par chance, j'étais dans les parages. Je l'ai éliminé.


Silence. Moi, je n'ai pas tout compris.


– Ca va ? demande Louis.


Elle souffle un coup.


– Oui, on y était préparés, après tout. Informe le Conseil qu'un incident de niveau deux a été déjoué. C'est la première fois qu'on voit ça… La guerre est proche.


La guerre ?


– Tu sais quand arrivera l'escouade ? interroge-t-elle.


– Dans une semaine. Ella prendra un peu d'avance : elle sera là dans deux jours. Je suis content de la retrouver.


– Moi aussi, ça me fera plaisir de la voir. Tu es toujours au centre de recherches ?


– Oui.


– D'accord, on arrive. A toute à l'heure.


Elle raccroche. Je commence à prendre peur. Ils parlaient de guerre dans un calme plus qu'exemplaire. Qu'est-ce qu'est la maîtrise de la physique théorique ? Et le Conseil ? Je ne sais pas dans quoi je suis embarqué.


– Je t'emmène avec moi. Je t'expliquerai plus tard, mais fais-moi confiance. Je sens que tu as peur.


En effet, tout cela m'a refroidi et un tas de questions émerge de mon esprit. En récoltant un peu d'informations sur la situation, je pense que ça me rassurera. Après tout, si un événement dramatique était sur le point de se produire, tout le monde serait au courant, non ?


– Dis, c'est quoi cette histoire de guerre ?


Après avoir mis son clignotant pour dépasser, elle me dévisage. Sûrement dois-je afficher une expression terrorisée. C'est bien normal, leur discussion n'était pas des plus habituelles.


– Connais-tu un peu de théories en physique ? Comme la relativité générale, par exemple, me demande-t-elle.


J'ai l'impression de ne pas être pris au sérieux. On parle de drames et voilà des questions sans aucun intérêt. Je hausse légèrement la voix.


– Hé, n'esquive pas le sujet !


– Je ne l'esquive pas ! cria-t-elle, les yeux écarquillés. Moi aussi, j'ai failli mourir aujourd'hui.


Maintenant qu'elle le dit, son visage aborde l'expression de la peur, on ne peut pas le manquer. Je ne la connais que depuis à peine dix minutes et la voir ainsi me semble inhabituel : elle affichait un visage si sûr de lui pendant son combat. Elle a dû contenir ses émotions et je l'ai mise en colère. Bravo !


– J'essaie juste de t'expliquer, se calme-t-elle. Je répondrai à toutes tes questions avant qu'on arrive, ne t'en fais pas.


Peut-être en ai-je trop fait mais je suis aussi sous le choc. Je lui présente mes excuses, histoire de ne pas élever la tension à un niveau plus haut qu'elle ne l'est déjà.


– Désolé. Non, je ne m'y connais pas.


– Eh bien… Il faut savoir que deux éléments composent notre Univers : l'espace-temps et l'énergie. Il existe des gens, comme l'homme que je viens de… tuer, ou moi, qui savent manipuler ces entités.


– C'est-à-dire que tu peux manipuler le temps ?


– Ca pourrait être possible, mais les recherches dans ce domaine sont difficiles. Cependant, j'ai manipulé l'espace. Tu m'as vu me "téléporter" ?


Je hoche la tête.


– J'ai seulement emprunté un autre passage dans l'espace pour me rendre d'un endroit à un autre.


Seulement ? Elle dit ça comme si c'était normal.


– Aussi, les explosions que tu as vues dans l'entrepôt étaient des décharges d'énergie. Vois-tu, l'énergie dite "du vide" nous environne, il y en a tout autour de nous répartie de façon homogène. Certains sont capables d'accumuler de cette énergie et de s'en servir en tant qu'arme, comme nous l'avons fait. Tu vois cette bague ?


Elle lève la main gauche pour la mettre en évidence. Une simple bague d'argent autour de son annulaire.


– C'est un amplificateur d'énergie. Nous ne connaissons pas avec exactitude la valeur de l'énergie du vide. On sait cependant qu'elle est faible, trop faible pour qu'on puisse s'en servir comme d'une arme. Cet amplificateur augmente, si tu veux, la valeur de l'énergie qui m'entoure, de façon à ce que je puisse en envoyer des décharges.


– Je vois à peu près ce que tu veux dire… Et comment tu peux faire ça, concrètement ? Ça paraît impossible.


– Einstein, dans sa quête d'une théorie ultime qui expliquerait l'Univers – durant les dix dernières années de sa vie -, s'est rendu compte qu'on pouvait inclure, dans les équations, la volonté.


– La volonté ?


– Oui. Cela signifie que nous sommes capables, si nous savons nous y prendre, de plier la nature selon nos souhaits, comme nous l'avions fait en nous combattant : en envoyant des décharges d'énergie, se "téléportant" etc. Mais il existe de puissantes théories qui, si elles étaient manipulables, doteraient leur utilisateur d'un pouvoir encore jamais vu jusque là. Cette découverte a été cachée au grand public. Seule la communauté scientifique en était au courant. La question était simple : fallait-il approfondir les recherches dans ce domaine ? Evidemment…


Je vois le mauvais côté venir. Elle continue :


– …certains, voyant le potentiel de cette découverte, se sont isolés afin d'en apprendre plus à ce sujet. Et ce n'était pas pour en explorer les bienfaits. On les suspectait d'utiliser cette science nouvelle à de mauvaises fins. Un mal se propageait, un mal doté d'une grande puissance, mais on ne pouvait pas le localiser. Les chefs d'Etats en ont été averti mais le secret a été caché à la population afin de ne pas l'effrayer.


Voilà donc pourquoi personne n'est au courant.


– Depuis, nous les traquons à travers le monde, nous-mêmes cachés. Le seul remède pour combattre ces ténèbres était de faire de même : entamer des recherches dans cette physique. Et nous voilà, plus de quatre-vingts ans plus tard (*1), à la plus grande des tensions de l'histoire. Aucun des deux camps ne connait les découvertes de l'autre, ne sait de quoi il est capable. Personne n'a encore frappé. On sent cependant que, sous peu, le mal va surgir et nous sommes prêts à le combattre.


Ça fait beaucoup à encaisser d'un coup. Je pose ma tête contre la vitre et regarde dehors. Les arbres sur le rebord de l'autoroute défilent à grandes vitesses et le soleil commence à se coucher. Si ce qu'elle me raconte est vrai, alors le monde court un grave danger et personne ne le sait. Qu'est-ce que ça va être quand l'annonce sera générale ? J'ai du mal à m'y faire. Ça sera la pire révélation de l'histoire.


– La théorie ultime a-t-elle été découverte ? demandé-je, sentant que la conversation touche à sa fin.


– Non. Chacun fait de son mieux pour la trouver, mais c'est très compliqué.


– D'accord.


Maintenant que tout a été déballé, un silence s'installe. Ce n'est pas un silence pesant mais apaisant. Chacun est dans sa bulle. Je reporte mon attention dehors tandis qu'elle se concentre sur la route. Une guerre se prépare, des hommes contrôlent les éléments de la nature, le tout dans un secret absolu. Comment réagir face à cette nouvelle ? Bien sûr, si guerre une guerre se déclare, je voudrais apporter mon aide. Mais y risquer ma vie ? Je ne sais pas. Même si elle a eu un excès de colère, la fille semble globalement confiante. Elle a dit qu'ils étaient préparés. C'est déjà une bonne chose. D'ailleurs, je ne lui ai pas demandé son nom.


– Au fait, comment tu t'appelles ?


– Je m'appelle Ever. Je suis une Invocatrice de Lumière.


(*1) – pour info, Einstein est mort en 1955.


Le Duelliste original n’est pas celui qui n’imite personne, mais celui que personne ne peut imiter.

honest50
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[Fic] Avis posté le [14/01/2017] à 20:39

Ce que tu as écrit est pour le moins plutôt sympa. L'extrait donne envie d'avoir la suite. L'ensemble semble assez cohérent. Il n'y a pas de gros pavés qui ralentissent l'action. 🙂 Tu penses bien à laisser une part de mystère sur les personnages (Ever notamment)

L'intrigue présentée a l'air intéressante, même si mes compétences en physique remontent un peu ^^


Par contre, c'est vrai qu'avec le début en moins, c'est un peu plus compliqué à saisir mais … question d'adaptation. 😉


Pour moi, c'est quelque chose de très bon, mis à part quelques petits trucs qui me paraissent assez lourds mais rien de trop grave.


En tout cas, j'aimerais beaucoup lire une suite


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Tutiou
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[Fic] Avis posté le [14/01/2017] à 20:44

Merci pour ton retour, ça me fait très plaisir !

Je voudrais savoir ce que tu as trouvé lourd. J'ai besoin de m'améliorer pour continuer.

Je vais réfléchir au début. Je ne sais pas quand la suite sera finie. Je rencontre en fait un problème et je cherche à le contourner.

PS : n'y a-t-il pas un membre du forum qui a ouvert un site pour poster des fics ? J'ai cherché mais pas trouvé 😕


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honest50
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[Fic] Avis posté le [14/01/2017] à 20:56

C'est surtout d'un point de vue ordre des mots comme le ''se dresse un violent spectacle'' (par exemple). Là, si tu veux mon avis, je trouve que d'un point de vue syntaxique, ça fait un peu lourd. Dans ce cas-là, suffit juste d'un truc du style ''se dresse un spectacle d'une certaine violence''. Ca met un certain effet dans ta phrase.


C'est principalement des remarques concernant des petites lourdeurs d'expression. En même temps, étant en prépa littéraire, je peux être assez critique à ce sujet.


Sinon, pour les dialogues, je ne suis pas forcément fan quant au fait d'interrompre les lignes de dialogues pour une petite phrase d'environ 5-6 mots. Je trouve que ça perd en rythme. Mais tu n'es pas obligé de prendre ce point de vue en compte.


Sinon, concernant ce site pour poster des fics, je n'en ai aucune idée mais j'aimerais bien poster la mienne, histoire d'avoir quelques avis.


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Tutiou
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[Fic] Avis posté le [14/01/2017] à 21:15

Je t'avoue que même l'adjectif "violent" semble contredire ce qui suit, à savoir que le combat est d'abord plutôt silencieux. C'est pourquoi que, dès que j'aurais quelque chose de plus potable, je le remplacerai.

Concernant les petites phrases entre les dialogues, c'est dû au style d'écriture. En fait, je suis vraiment dans la peau du personnage jusqu'à partager ses pensées au moment où elle surgissent. Généralement, on voit des guillemets " pour les pensées. Je les rends partie intégrante du récit et les publie dès que le personnage les ressent.

Je vais voir pour le cassage de rythme, c'est vrai que mon mode d'écriture ne colle pas toujours avec les dialogues.


En même temps, étant en prépa littéraire, je peux être assez critique à ce sujet.


Aaah, moi je suis en maths 🙂

Merci, en tout cas, pour ton retour et pour avoir pris le temps d'avoir lu 🙂

PS :


même si mes compétences en physique remontent un peu ^^


Je ne l'ai pas encore mis, mais il y a normalement des notes pour accompagner les points de physique (pas encore rédigés parce que je me comprends) afin que ça soit beaucoup plus facile à comprendre. Je ne sais pas si tout le monde peut comprendre ce que j'ai écrit. C'est en fait ma plus grande crainte.


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honest50
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[Fic] Avis posté le [14/01/2017] à 21:24

Oui, c'est vrai qu'en relisant, ça peut paraître contradictoire mais … je ne m'en suis même pas rendu compte.

Sinon, le style d'écriture … ce n'est pas quelque chose que je critique avec joie. Concernant les guillemets, je fais pareil dans la fic que je suis en train d'écrire (un très très gros pavé) – je rajoute même la pensée en italique. Mais après, je n'aime pas tellement avoir à redire sur le choix de la focalisation mais moi, je préfère opter pour quelque chose d'assez … original


Aaah, moi je suis en maths 🙂


1e ou 2e année ? (2è pour moi)


C'est surtout sympa de demander un avis, ce n'est que bénéfique pour l'auteur. (et en plus je poste à nouveau ici). De plus, j'adore lire des fanfictions


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Tutiou
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[Fic] Avis posté le [14/01/2017] à 21:36

Je t'avoue que je ne me vois pas écrire dans un autre style :mrgreen: J'aime bien ce côté subjectif.

Je suis en première année mais en école d'ingénieurs.

Oui, les avis sont ce qui compte le plus pour moi, d'autant plus qu'il y a un côté scientifique qui va apparaître (pour expliquer les pouvoirs). D'ailleurs, cette fic est toujours relue par un membre de ma famille et une amie. Ce n'est d'ailleurs pas moi qui ais trouvé le nom du protagoniste.


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honest50
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[Fic] Avis posté le [14/01/2017] à 22:13

Oui, chacun ses préférences.

École d'ingé … c'est la classe.


C'est vrai que les avis sont assez importants. Moi, pour le moment, j'attends les retours de ce que j'ai envoyé à une amie … mais comme je lui ai envoyé 320 pages et que j'en prévois … 1000 pour une saison 1, je risque d'attendre un peu

Et puis le fait de donner à lire à un tiers, c'est sans doute plus intéressant – quand c'est sur du YGO, la faire lire à quelqu'un qui ne connaît pas, l'avis peut être vraiment précieux


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